Citas

Il faut penser à l’avenir ; et l’avenir, c’est vous, c’est vous qui incarnez l’avenir de notre patrie.
Renvoi au texte original: Pour la Journée de l’enfance, 6 juillet 1974
Le plus important de tout, c’est l’effort que consent la Révolution pour faire de chaque pionnier l’homme et la femme intégral de demain. Et aucune richesse matérielle ne sera comparable à la richesse spirituelle et intellectuelle que la société pourra offrir à chacun de vous.
Renvoi au texte original: À l’inauguration du Camp international de pionniers 26-Juillet à Varadero, 17 juillet 1977

"On parle fréquemment des droits de l’homme, mais il faudrait aussi parler des droits de l’humanité. Pourquoi certains peuples doivent-ils aller nu-pieds pour que d’autres roulent dans des voitures de luxe ? Pourquoi certains ne doivent-ils vivre que trente-cinq ans pour que d’autres en vivent soixante-dix ? Pourquoi certains doivent-ils être misérablement pauvres pour que d’autres soient exagérément riches ? Je parle au nom des enfants qui, dans le monde, n’ont même pas un morceau de pain; je parle au nom des malades qui n’ont pas de médicaments ; je parle au nom de ceux auxquels on a refusé le droit à la vie et à la dignité humaine".

Renvoi au texte original: ALLOCUTION PRONONCÉE PAR FIDEL CASTRO RUZ, EN SA QUALITÉ DE PRÉSIDENT DU MOUVEMENT DES PAYS NON ALIGNÉS, À LA TRENTE-QUATRIÈME SESSION DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES NEW YORK

"L’Empire, et le système qui cause tout ça, peuvent-ils parler vraiment au monde de droits de l’homme ? Des droits de l’homme dans un système où une énorme partie de la population n’a pas d’emplois, où les femmes se prostituent, où les enfants sont livrés à leur sort ? Les chiffres d’enfants abandonnés en Amérique latine sont impressionnants : des millions, beaucoup de millions ! Comment un système pareil peut-il offrir des espoirs à l’être humain ? Comme ce système peut-il parler d’égards envers l’être humain ?
Voilà pourquoi nous avons tant de foi dans le socialisme, tant de confiance dans le socialisme, de si profondes convictions socialistes".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ POUR LE TRENTIÈME ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DE CAMILO CIENFUEGOS, À LAWTON, LA HAVANE, le 28 octobre 1989

"Je pense que ce dont les peuples ont besoin, ce n'est pas tant d'armes que d'idées. Pour substituer à une mondialisation inhumaine, intenable, qui menace la vie de la planète, un ordre social juste et humanitaire, qui offre à l'humanité l'occasion de survivre, un monde qui puisse avoir un peu d'eau potable, un monde qui dispose d'air pour respirer, un monde qui puisse disposer des aliments nécessaires, un monde qui soit capable, grâce à sa riche technologie, de produire les toits dont les personnes ont besoin pour vivre, les écoles dont les enfants ont besoin pour s'éduquer, les médicaments dont les habitants ont besoin pour protéger leur santé, les soins médicaux dont tout le monde a besoin, les enfants, les jeunes et les personnes âgées".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et président du Conseil des ministres, lors de la remise de médaille José Bonifacio (grade de Grand Officier) à l'Univ

“Le sport exige de la discipline, et discipline beaucoup l'enfant et le jeune, lui apprend à être résistant, stable, tenace et courageux, influe sur son caractère, contribue à sa santé et à son développement physique et mental”.

Renvoi au texte original: “Le sport exige de la discipline, et discipline beaucoup l'enfant et le jeune, lui apprend à être résistant, stable, tenace et courageux, influe sur son caractère, contribue à sa santé et à son développement physique et mental”.

« Il faut mettre un terme, au plus vite possible, au génocide commis devant les yeux abasourdis du monde contre le peuple palestinien. Il est nécessaire de protéger le droit élémentaire à la vie de ses citoyens, de ses jeunes et ses enfants. Respectons son droit à l'indépendance et à la paix et alors nous n'aurions rien à craindre des documents issus des Nations Unies. »

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la Conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance qui y est associée. Durban (Afrique du Sud), le 1er septembre 2001